mercredi 6 décembre 2006

Les (vrais) pirates

Ce que cette photo réprésente, c'est un bateau de pirates comme on en rêve: prêt à assaillir le rupin des mers qu'il soit Espagnol, Portugais, Anglais ou même Français avec ses solides matelots qui vaquent peinardement aux tâches les plus élémentaires comme apprendre à parler Douarneniste au perroquet, violer la fille du gouverneur de la province du Yucatan, boire des ti-punch, se curer les ongles des pieds avec un sabre...
Bref, que des saines occupations, bien éloignées des emmerdes du terrien qui doit se coltiner le voisin chiant et fier avec son chien qui a de la merde séchée au cul, la belle-mère acariâtre qui pue de la gueule, Poivre d'Arvor (malgré tout le respect que je dois à un faux breton comme lui), Sarkozy, l'autorité oppressante et les recettes de Mme Loïk (cette pute! Elle me file de l'eczéma).

Ah! Les valeurs ou plutôt l'absence de valeurs morales des pirates d'autrefois me manquent à tel point que je nourris l'ambition d'en devenir un moi même.
La tâche n'est pas aisée en ce siècle de décadence effrénée, je ne vois que deux solutions:

-Devenir un pirate informatique ce qui est impossible puique je ne comprends rien aux ordinateurs (d'ailleurs, en ce moment, je me contente de dicter à un employé volontaire et bénévole qui a très peur de moi) et puis je n'ai pas envie de voler sans violence, on a sa fierté quand même.
Et merde! foutre! bite! (Ndlr. Elmer Food Beat)
-Sinon, il existe encore des lieux où la piraterie s'exerce encore sans foi ni loi mais d'une part, je ne sais pas parler le Philipin ni le Chinois et puis j'ai un peu de mal avec les climats tropicaux et leur cortège de moustiques nymphomanes d'autant plus que la quinine ça fait un peu tapette la-bàs y paraît.
Alors...
que faire?

2 commentaires:

Digadao a dit…

Peut-être à Chausey ou dans les scilly mais il faut être assez discret. L'écosystème est fragile.

Abloc'h-Jean Floc'h a dit…

C'est vrai? J'imagine le truc...